J’ai fait quelques plongées au mois d’août pour tester le matériel et l’appareil photo. J’ai aussi récupéré quelques bulots.
J’ai eu quelques ennuis avec le masque, sûrement dûs à une mauvaise mise en place.
L’eau n’était pas tellement chaude, d’où utilisation de la combi. Mais comme je n’ai pas la ceinture de plomb, fallait drôlement insister pour attraper les bulots qui étaient au fond !
Ça a commencé avec les alinéas du transport comme dit l’autre. Quelques minutes après avoir quitté la gare, un gus s’est jeté sous notre TGV. Résultat: immobilisés 2 h 30, changement de TGV, 2 h 30 de retard.
Après-midi passé à déambuler en ville avant de retrouver D. et célébrer autour d’une bière. Ensuite “repas de sportif” chez lui.
Le lendemain a été assez sportif faut dire. Petit jogging de 40 min pour moi (D. a fait des tours de piste d’athlé en plus, mais c’est un IronMan, alors que moi, je suis un touriste), repas puis ascension du mont de la Tournette (1100m de dénivelé).
On peut dire qu’on a bien vu le lac d’Annecy, mais aussi le Mont Blanc et deux camions de chasseurs alpins (enfin, pas que les camions, les chasseurs aussi).
Ça grimpe beaucoup, c’est abrupt sur de la roche, de sympathiques personnes ont installé des chaînes dans les endroits les plus difficiles.
C’est une rando à éviter par temps de pluie, car avec le passage il y a des roches trop polies pour être au net. D. a grimpé tout en haut, sur le rocher, je l’ai attendu en bas, à regarder des sortes de bouquetin et manger des biscuits. Après cette raide ascension, nous avions un peu d’appréhension pour la descension, parce que le sentier est bordé d’endroits où il faut éviter de tomber. Au final, la descente se fait quand même bien. C’est une très jolie rando.
Le surlendemain a commencé par un orage, ce qui ne m’a pas empêché de faire un tour au marché. Il y a une pâtisserie qui vend des pains aux raisins géants ! D. m’a prêté son vélo pour aller faire un tour sur la piste qui longe le lac.
Le retour en train a aussi connu son lot de surprises. Des incendies entre Nîmes et Montpellier (avec 2 L comme GLLOQ me souffle-t-on à l’oreillette) nous ont laissés coincés à Valence pour une durée indéterminée. Quand le trafic a repris, on n’était bien évidemment pas les seuls à vouloir passer, du coup on a glandé 1 heure avant d’entrer en gare de Nîmes. Résultat, au lieu d’arriver à 21h05, je suis arrivé à 1h30 du mat.
J’ai envoyé mes billets dans l’enveloppe retard, on verra bien si je récupère un peu d’argent.
Très jolie promenade à vélo sur le tracé d’une ancienne voie ferrée. On passe quelques tunnels qui s’éclairent automatiquement. Environ 65 km l’aller. J’étais bien content de retrouver Mazamet, où je suis allé au lycée. Nous avons dormi à Bout du pont de l’Arn et sommes rentrés le lendemain.
Le tracé est presque toujours éloigné de la rue ce qui rend la promenade encore plus agréable.
Il faut dire que Montréal a développé un tel écosystème de nids-de-poule que c’était l’endroit idéal pour une avancée majeure. Je vous présente donc le nid-de-poule de forme carrée. Mes amis, on se rapproche de l’oeuf cubique!