Mexico – Oaxaca

Lors de l’enregistrement, Aeromexico nous dit qu’ils ont survendu et qu’il n’y a pas de place garantie pour F. et de revenir à minuit, lorsque l’enregistrement sera terminé. L’avion est rempli de travailleurs mexicains qui viennent pour travailler en agriculture au Québec. Un peu avant minuit, nous revenons et ils donnent un billet de première pour F.

Avec ce contre-temps, nous avons trouvé les magasins duty-free fermés.

Arrivés à Mexico, nous filons à la gare routière TAPO prendre un bus en direction de Oaxaca pour y rejoindre les oncles.

Colonia del Sacramento – BA

Petite cité balnéaire bien tranquille, juste en face de Buenos Aires.

Allée des soupirs
Le phare
Une végétation étonnante
Une rue
De vieilles voitures à photographier

Ne prenons ensuite le bateau pour B.A.. Là encore les formalités de douane sont simplifiées : avant de prendre le bateau, nous passons à un guichet où les douaniers uruguayen et argentin sont assis l’un à côté de l’autre. Ils tamponnent le passeport chacun leur tour.

San Telmo

Le gars à qui nous avions commandé des sandales en cuir sur mesure n’est pas là. Nous avons perdu nos 5$ de dépôt.

Nous quittons l’appartement et prenons le bus de nuit pour Montevideo (Uruguay).

Cataratas de Iguazú

Probablement les plus belles chutes d’eau au monde. Du coup, ça attire du monde.
Les argentins payent l’entrée 40 pesos, les étrangers 100 pesos. F. qui a bien travaillé son accent va acheter les billets en essayant de se faire passer pour argentin. L’accent a dû être bon car ils lui demandent son « carnet », forcément, il ne l’a pas, il n’est pas argentin.

Iguazú
Iguazú
Coucou toi !
Un oiseau qui n'a pas payé son billet d'entrée
Iguazú
Ça mouille !
Iguazú
Fais comme l'oiseau
Devant la Garganta del Diablo

Bus de nuit pour BA.

Buenos Aires – Puerto Iguazú

Le matin, direction quartier de la Boca, là où est né le tango. C’est très charmant. C’est aussi un quartier qui est dangereux la nuit (les différents chauffeurs de taxi à qui nous avons parlé n’y vont pas de nuit) et où il faut faire attention le jour. Les rues touristiques sont trop touristiques.
Nous embarquons à 20h pour 18 heures de bus. On se fait arrêter 2 fois par la gendarmerie argentine. Ils ne contrôlent que les gens réveillés. Ils font même descendre une américaine parce qu’ils pensent qu’elle transporte de l’herbe (ils ont senti eux-même ses affaires, les chiens devaient être trop fatigués). Au bout de 10 minutes, elle est revenue et on est reparti.

Buenos Aires

Nous allons acheter nos billets pour Iguazú puis nous nous promenons dans les quartiers de Recoletta et Palermo.

Devant la fameuse fleur géante.

Buenos Aires

Arrivée le matin dans la capitale du tango. Nous laissons nos sacs à la consigne de la gare routière et commençons l’exploration de la ville. C’est dimanche, il y a le marché artisanal et le marché aux puces dans le quartier de San Telmo. Il y a un artisan qui vend de superbes sandales en cuir qu’il fait lui même. Il peut m’en faire sur mesure, nous irons les chercher dimanche prochain.
En milieu d’après-midi, nous repartons chercher nos sacs et nous dirigeons vers l’appart que Iván, un ami de Montréal, a loué pour la semaine. Son avion est un peu en retard parce qu’il a fallu le déglacer à Toronto… Nous on est en short…

Place de Mai, Buenos Aires

Du monde à San Telmo pour faire des emplettes

Córdoba

Balades en ville et un peu de repos. Nous voulions aller au patio del tango du vendredi soir au Cabildo. L’office de tourisme nous avait même confirmé nos informations, mais arrivés sur place, un policier nous a dit que ça ne se faisait plus depuis quelques temps. Super l’office de tourisme!

Cordoba

Córdoba

Ah c'qu'on est bien quand on est dans son bain...
Visite tranquille de la ville. Pas mal d’expositions de la mile culturelle sont fermées.

Cafayate – Tucumán – Córdoba

Départ à 14h pour Tucumán. Après s’être arrêtés pour réparer la climatisation, on se fait arrêter par la gendarmerie pour un contrôle. Cette fois-ci, ils ne nous font pas descendre. Ils regardent les passeports et selon la tête du client, lui font ouvrir son sac ou non. Pas de contrôle des sacs en soute. Ils se sont intéressés de très près au poncho contre la pluie de F., par contre ils ne m’ont rien demandé. Bus de nuit jusqu’à Córdoba

Cafayate

Cafayate

Nous partageons un taxi avec des argentins pour nous rendre jusqu’au rio Colorado afin de le remonter jusqu’aux cascades. En cours de chemin, il faut le traverser à pied et les pluies récentes ont gonflé la rivière. Nous préférons rebrousser chemin. Lors du retour nous nous arrêtons voir quelques peintures rupestres avant de profiter un peu du calme de la ville.

Combien de lamas ?
Alentours de Cafayate

Cour de l'hostal

Salta – Cafayate

Comme nous avions réservé le bus la veille, nous sommes encore au premier rang de l’étage supérieur du bus avec vue panoramique. Arrivés à Cafayate, nous allons voir les hébergements recommandés par le Lonely. Ils ont tous doublé leurs prix par rapport aux indications de notre guide, because l’inflation. Nous trouvons finalement un endroit où dormir, tenu par un couple de jeunes argentins.

Salta

Dimanche tranquille. Le changement de pays est assez frappant. Ça fait plaisir de revoir des chiens obèses. Ça fait plaisir aussi de voir des voitures françaises comme 4L, Diane, R12, R12 break, 504. Nous mangeons une parrillada, puis prenons les télécabines pour monter sur la colline qui domine la ville.

Parrillada
Vue de Salta

Une rue de Salta

Tupiza – Villazón – Salta (Argentine)

Nous avons bien aimé Tupiza, mais il faut continuer.
Gros problème dans le bus qui va à Villazón : les sièges 21 et 22 sont marqués en double! Du coup, il y a des conflits de place. La fille de l’agence monte dans le bus et au bout de 20 minutes à relire son cahier et à demander 2 fois les billets de tous les passagers, elle ne comprend toujours pas ce qui ne va pas et dit aux gens de se débrouiller et nous pouvons enfin partir. Nous traversons Villazón à pied. Les argentins prennent les magasins d’assaut, à tel point que les commerçants donnent les prix essentiellement en pesos argentin. Nous passons la frontière à pied. Pour sortir de Bolivie, il faut passer dans un bureau où il y a des files désordonnées, mais une fois arrivés à l’officier de police, il nous tamponne immédiatement le passeport et nous pouvons aller du côté argentin. Il n’y a rien d’indiqué, nous faisons la file devant une guitoune. Je tends les passeports, l’agente ne dit rien, prend les passeports, vérifie et tamponne le mien puis s’en va. 1 minute plus tard, un autre agent prend sa place, et toujours sans rien dire, vérifie le passeport de F. le tamponne et le lui rend. Ensuite, nous passons nos bagages dans un scanner et pouvons partir. Nous changeons nos montres, nous venons de perdre une heure. Au bout de 30 minutes de bus, on se fait arrêter par la gendarmerie. Longue attente dans le bus, puis tout le monde descend, prend ses affaires et se fait contrôler avec ouverture des sacs à la tête du client. Vu comme le contrôle est bien organisé, il aurait été facile d’y échapper. Arrivée à Salta à 1h.