Arrivés à Tokyo

Finallement, l’avion n’avait que 3h de retard, mais comme un passager n’a pas embarqué on a attendu 30 min de plus, le temps qu’ils retrouvent sa valise. Entre temps, il s’était mis à neiger, il a donc fallu passer au déglaçage. Bref, la correspondance pour Okinawa, c’est grillé.

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L’équipe d’Air Cadenas au Japon est très bien organisée, on nous attendait à la sortie de l’avion avec des enveloppes toutes prêtes qui contenait notre nouvelle réservation, un billet pour l’hôtel, un ticket de transport pour l’aéroport Haneda (on est arrivés à Narita).

Passage à l’immigration sans soucis, avec le sourire même.

Hôtel international bien standard. Nos premiers chiottes à la japonaise. Photos pour Martin.

vue d'ensemble
vue d’ensemble
détails
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Mexico – Oaxaca

Lors de l’enregistrement, Aeromexico nous dit qu’ils ont survendu et qu’il n’y a pas de place garantie pour F. et de revenir à minuit, lorsque l’enregistrement sera terminé. L’avion est rempli de travailleurs mexicains qui viennent pour travailler en agriculture au Québec. Un peu avant minuit, nous revenons et ils donnent un billet de première pour F.

Avec ce contre-temps, nous avons trouvé les magasins duty-free fermés.

Arrivés à Mexico, nous filons à la gare routière TAPO prendre un bus en direction de Oaxaca pour y rejoindre les oncles.

Colonia del Sacramento – BA

Petite cité balnéaire bien tranquille, juste en face de Buenos Aires.

Allée des soupirs
Le phare
Une végétation étonnante
Une rue
De vieilles voitures à photographier

Ne prenons ensuite le bateau pour B.A.. Là encore les formalités de douane sont simplifiées : avant de prendre le bateau, nous passons à un guichet où les douaniers uruguayen et argentin sont assis l’un à côté de l’autre. Ils tamponnent le passeport chacun leur tour.

Montevideo

Passage de frontière à 3h du matin sans aucun soucis, il n’y a même pas besoin de sortir du bus, les douaniers argentins passent, nous prennent les passeports, le bus passe la frontière et les douaniers uruguayens nous les rendent tamponnés. Pas plus difficile que ça.

Montevideo, c’était un vieux rêve d’aller le visiter. Qui ne se souvient pas de cette superbe chanson de Rina Ketty ?
“Sous ton ciel Montevideo
J’ai compris enfin le bonheur
Me souvenant des heureux jours
Je ne veux plus songer qu’au retour
Et près de toi rester pour toujours
Oh! merveilleux Montevideo”

Une architecture adorable.

Ville agréable (sauf le chauffeur de taxi qui nous a laissé au mauvais hôtel et nous a fait payer le tarif de nuit, ça doit être pour éviter de se faire taper dessus par les clients mécontents qu’ils sont tous séparés par une cloison).

Un marché pour les grillades

Ici, c’est un excellent endroit pour les amateurs de viande.

De belles maisons, de beaux fruits
Palacio Salvo, un des monuments emblématiques de la ville
Avec notre amie Giovana

Oui, c’est une parrillada qu’on se prépare à dévorer.

Cafayate – Tucumán – Córdoba

Départ à 14h pour Tucumán. Après s’être arrêtés pour réparer la climatisation, on se fait arrêter par la gendarmerie pour un contrôle. Cette fois-ci, ils ne nous font pas descendre. Ils regardent les passeports et selon la tête du client, lui font ouvrir son sac ou non. Pas de contrôle des sacs en soute. Ils se sont intéressés de très près au poncho contre la pluie de F., par contre ils ne m’ont rien demandé. Bus de nuit jusqu’à Córdoba

Cafayate

Potosí – Uyuni

Départ pour Uyuni afin d’aller voir les fameux Salars et Sud Lipez. À la gare de bus, on nous saute dessus pour nous vendre des places. On élimine ceux dont les bus ne sont pas encore arrivés, ceux qui nous promettent le voyage en 4h30 (au lieu de 6h) et nous dénichons un bus prêt à partir. Le bus n’est plus tout jeune, mais il y a assez de place pour les jambes. Les dossiers sont un peu défoncés, tout comme les passages en piste de terre. Nous traversons une zone aride aux reliefs incroyables.

Vue depuis le bus
Des couleurs incroyables

Une ville minière abandonnée

La Paz – Coroico

Lever aux aurores pour essayer de capter le lever du soleil sur La Paz. C’est un peu foutu because les nuages.

Vue générale de La Paz

Ensuite nous redescendons prendre un petit-déjeuner buffet avant de nous diriger vers le quartier d’où partent bus et combis vers Coroico. Dire que ça semble mal organisé serait en dessous de la réalité. Nous n’arrivons pas à trouver de bus et nous rabattons sur un combi. On nous donne les places de la première rangée qui ont plus d’espace pour les jambes (et ce n’est pas du luxe). Par contre, il faut attendre d’autres passagers pour remplir le combi avant de partir. On nous promet de partir dès qu’il y aura 5 passagers de plus.1 heure et demi plus tard, 2 bus sont déjà partis au coin de la rue et nous avons nos 5 passagers. Je suis obligé d’aller discuter avec la dame qui nous a vendu les billets et de hausser le ton pour que l’on parte. Encore de très beaux paysages en cours de route. Le soleil brille en arrivant, mais finit par se cacher. C’est une petite ville très reposante.

Route vers Coroico

Copacabana – La Paz

Première vraie expérience du transport Bolivien. En plus des combis (petites fourgonnettes) qui partent dès qu’elles sont remplies, il y a plusieurs bus (« classe touristique ») qui partent vers La Paz. Ils partent tous à 13h30. Ceux qui n’ont pas fait attention ont payé 30Bs, les autres 25. Le bus n’est pas encore là, on nous annonce un retard d’une demi-heure, puis d’une heure, puis de 2. En fait, les combis ne partent pas et aucun autre bus n’est parti. Il se trouve qu’il y a une semaine, un bus est tombé à l’eau lors de la traversée du lac et qu’ils sont en train de le repêcher. C’est finalement avec 5 heures de retard que nous partons, toujours avec Émilien avec qui nous faisons équipe depuis Puno. Nous arrivons à La Paz vers 22h30 sans avoir réservé d’hôtel. Nous essayons un premier hôtel, qui est complet, puis un deuxième, complet lui aussi avant d’arriver à l’hôtel Torino qui était très bien.

Cusco – Puno (lac Titicaca)

Nous faisons le trajet de jour. La veille, nous avons réservé nos places, celles de devant au deuxième étage, c’est dire si nous en prenons plein les yeux. Les paysages sont vraiment de toute beauté. Par contre le chauffeur est ignoble. Il double sans aucune visibilité, il klaxonne sans raisons valables. La fille qui nous a vendu les billets nous a promis que c’était un bus direct et qu’il ne s’arrêtait qu’une fois. Elle s’est bien moquée de nous, le bus s’arrête souvent. Notamment une dizaine de minutes devant une boulangerie pour faire monter des vendeuses. En échange, la propriétaire de la boulangerie a filé un sac plein de pains au chauffeur. La compagnie de bus, c’est turismo San Luis.
L’arrivée à Puno nous permet de contempler pour la première fois le célèbre lac Titicaca, perché à 3810m d’altitude. Je peux vous assurer que le lac Titicaca, ce n’est pas de la petite crotte, il est gigantesque et majestueux (oui, un lac est majestueux de la même façon qu’une maison de campagne est charmante). La ville de Puno est assez laide, mais les habitants semblent assez tranquilles.

De Mons à Mazamet en vélo

La carte se trouve ici : https://pingouinvoyageur.org/de-mons-a-mazamet-carte/

Très jolie promenade à vélo sur le tracé d’une ancienne voie ferrée. On passe quelques tunnels qui s’éclairent automatiquement. Environ 65 km l’aller. J’étais bien content de retrouver Mazamet, où je suis allé au lycée. Nous avons dormi à Bout du pont de l’Arn et sommes rentrés le lendemain.
Le tracé est presque toujours éloigné de la rue ce qui rend la promenade encore plus agréable.

Puit
Pont laissé à l'abandon
cabane au bord du chemin
cabane au bord du chemin
Papillon sphynx colibri
papillon
autre papillon
Des mûres
Olargues
rencontre entre un platane et un banc

De l’évolution…

Ça devait arriver, c’est arrivé.

Il faut dire que Montréal a développé un tel écosystème de nids-de-poule que c’était l’endroit idéal pour une avancée majeure. Je vous présente donc le nid-de-poule de forme carrée. Mes amis, on se rapproche de l’oeuf cubique!

Canicule

Il fait bien chaud à Montréal en ce moment.

35 degrés + humidité = + de 40 degrés ressentis.

Ça me fait un entrainement pour la mousson !

Le vélo reste plus confortable que le bus.

LondresLondres

Francisco est bien arrivé à Londres. Il est parti comme éclaireur. Le nuage de cendres a un peu retardé le départ, mais le voyage s’est bien passé.Francisco ya ha llegado a Londres.