2 heures de bus. Comme il n’y a pas de “clase ejecutiva”, que mes fémurs ne sont pas pliables et que la dame qui chante toute seule devant moi a incliné son siège, je n’ai pas besoin de ceinture de sécurité, je tiens tout seul! En plus, mes genoux doivent imprimer une sacré courbure à son dossier.
Le proprio de l’hôtel nous attend au terminus de bus. Nous achetons le billet pour aller en bus de nuit à Arequipa le lendemain soir.
La ville n’est pas plus intéressante que ça. On est encore dans le désert, il ne pleut que 5 min certaines années.
Demain, nous verrons les fameuses lignes de Nasca.