Dernier jour de voyage, nous reprenons l’avion cette nuit pour Montréal.
Dernier jour de voyage, nous reprenons l’avion cette nuit pour Montréal.
Nous sommes partis de bon matin pour los azufres. Quand je dis “nous”, en fait, ce sont ceux qu’on a pu faire tenir dans la voiture !
Eau thermale dans plusieurs bassins.
Morelia est en expansion. Un nouveau centre commercial vient d’être construit sur les hauteurs.
Arrivés au petit matin à Mexico, nous changeons de terminal de bus (de TAPO à OBSERVATORIO) pour prendre un autre bus pour Morelia. C’est là que vit une partie de la famille de F. et où l’autre partie s’est donné rendez-vous.
Nous profitons de cette ville bien agréable où le ciel est toujours d’un beau bleu.
Après avoir fait nos adieux aux oncles, nous prenons un bus de nuit pour Mexico.
Départ tôt le matin pour Hierve el agua avec les oncles. Les derniers kilomètres de route sont un peu difficiles : chemin en terre, grande montée, grande descente. L’endroit a du potentiel.
Retour vers Oaxaca en s’arrêtant à Teotitlán del Valle, un village réputé pour son tissage. La région de Oaxaca regorge d’artisanat de qualité.
Nous mangeons le midi chez la Maman de Jorge. On nous a préparé un succulent “mole amarillo”.
Lors de l’enregistrement, Aeromexico nous dit qu’ils ont survendu et qu’il n’y a pas de place garantie pour F. et de revenir à minuit, lorsque l’enregistrement sera terminé. L’avion est rempli de travailleurs mexicains qui viennent pour travailler en agriculture au Québec. Un peu avant minuit, nous revenons et ils donnent un billet de première pour F.
Avec ce contre-temps, nous avons trouvé les magasins duty-free fermés.
Arrivés à Mexico, nous filons à la gare routière TAPO prendre un bus en direction de Oaxaca pour y rejoindre les oncles.
Nous prenons l’avion pour Mexico ce soir.
Petite cité balnéaire bien tranquille, juste en face de Buenos Aires.
Ne prenons ensuite le bateau pour B.A.. Là encore les formalités de douane sont simplifiées : avant de prendre le bateau, nous passons à un guichet où les douaniers uruguayen et argentin sont assis l’un à côté de l’autre. Ils tamponnent le passeport chacun leur tour.
Nous profitons de Montevideo avant de prendre le bus vers 16h pour Colonia del Sacramento.
Passage de frontière à 3h du matin sans aucun soucis, il n’y a même pas besoin de sortir du bus, les douaniers argentins passent, nous prennent les passeports, le bus passe la frontière et les douaniers uruguayens nous les rendent tamponnés. Pas plus difficile que ça.
Montevideo, c’était un vieux rêve d’aller le visiter. Qui ne se souvient pas de cette superbe chanson de Rina Ketty ?
“Sous ton ciel Montevideo
J’ai compris enfin le bonheur
Me souvenant des heureux jours
Je ne veux plus songer qu’au retour
Et près de toi rester pour toujours
Oh! merveilleux Montevideo”
Une architecture adorable.
Ville agréable (sauf le chauffeur de taxi qui nous a laissé au mauvais hôtel et nous a fait payer le tarif de nuit, ça doit être pour éviter de se faire taper dessus par les clients mécontents qu’ils sont tous séparés par une cloison).
Ici, c’est un excellent endroit pour les amateurs de viande.
Oui, c’est une parrillada qu’on se prépare à dévorer.
Le gars à qui nous avions commandé des sandales en cuir sur mesure n’est pas là. Nous avons perdu nos 5$ de dépôt.
Nous quittons l’appartement et prenons le bus de nuit pour Montevideo (Uruguay).
À la Viruta
Probablement les plus belles chutes d’eau au monde. Du coup, ça attire du monde.
Les argentins payent l’entrée 40 pesos, les étrangers 100 pesos. F. qui a bien travaillé son accent va acheter les billets en essayant de se faire passer pour argentin. L’accent a dû être bon car ils lui demandent son « carnet », forcément, il ne l’a pas, il n’est pas argentin.
Bus de nuit pour BA.
Arrivée en milieu de journée, nous choisissons un hostel avec piscine. Les nuages ne tardent pas à apparaître. Parillada le soir.
Le matin, direction quartier de la Boca, là où est né le tango. C’est très charmant. C’est aussi un quartier qui est dangereux la nuit (les différents chauffeurs de taxi à qui nous avons parlé n’y vont pas de nuit) et où il faut faire attention le jour. Les rues touristiques sont trop touristiques.
Nous embarquons à 20h pour 18 heures de bus. On se fait arrêter 2 fois par la gendarmerie argentine. Ils ne contrôlent que les gens réveillés. Ils font même descendre une américaine parce qu’ils pensent qu’elle transporte de l’herbe (ils ont senti eux-même ses affaires, les chiens devaient être trop fatigués). Au bout de 10 minutes, elle est revenue et on est reparti.
Nous allons acheter nos billets pour Iguazú puis nous nous promenons dans les quartiers de Recoletta et Palermo.
Arrivée le matin dans la capitale du tango. Nous laissons nos sacs à la consigne de la gare routière et commençons l’exploration de la ville. C’est dimanche, il y a le marché artisanal et le marché aux puces dans le quartier de San Telmo. Il y a un artisan qui vend de superbes sandales en cuir qu’il fait lui même. Il peut m’en faire sur mesure, nous irons les chercher dimanche prochain.
En milieu d’après-midi, nous repartons chercher nos sacs et nous dirigeons vers l’appart que Iván, un ami de Montréal, a loué pour la semaine. Son avion est un peu en retard parce qu’il a fallu le déglacer à Toronto… Nous on est en short…
Visite des musées le matin, bus de nuit la nuit.
Balades en ville et un peu de repos. Nous voulions aller au patio del tango du vendredi soir au Cabildo. L’office de tourisme nous avait même confirmé nos informations, mais arrivés sur place, un policier nous a dit que ça ne se faisait plus depuis quelques temps. Super l’office de tourisme!
Visite tranquille de la ville. Pas mal d’expositions de la mile culturelle sont fermées.