Petite cité balnéaire bien tranquille, juste en face de Buenos Aires.
Ne prenons ensuite le bateau pour B.A.. Là encore les formalités de douane sont simplifiées : avant de prendre le bateau, nous passons à un guichet où les douaniers uruguayen et argentin sont assis l’un à côté de l’autre. Ils tamponnent le passeport chacun leur tour.
Passage de frontière à 3h du matin sans aucun soucis, il n’y a même pas besoin de sortir du bus, les douaniers argentins passent, nous prennent les passeports, le bus passe la frontière et les douaniers uruguayens nous les rendent tamponnés. Pas plus difficile que ça.
Montevideo, c’était un vieux rêve d’aller le visiter. Qui ne se souvient pas de cette superbe chanson de Rina Ketty ? “Sous ton ciel Montevideo
J’ai compris enfin le bonheur
Me souvenant des heureux jours
Je ne veux plus songer qu’au retour
Et près de toi rester pour toujours
Oh! merveilleux Montevideo”
Une architecture adorable.
Ville agréable (sauf le chauffeur de taxi qui nous a laissé au mauvais hôtel et nous a fait payer le tarif de nuit, ça doit être pour éviter de se faire taper dessus par les clients mécontents qu’ils sont tous séparés par une cloison).
Ici, c’est un excellent endroit pour les amateurs de viande.
Oui, c’est une parrillada qu’on se prépare à dévorer.