Quelques gouttes commencent à tomber tandis que l’on attend l’ouverture du supermarché. Le temps empire, beaucoup de vent, beaucoup de pluie.
Le vent déchiquette nos ponchos, pourtant en plastique épais. Nos pieds sont trempés, le vent empêche d’avancer. Nous sommes contraints de nous arrêter le plus tôt possible. Il y a déjà beaucoup de monde à l’auberge qui finit par se remplir à pleine capacité (34 personnes). Journal dans les chaussures pour les sécher, douche chaude, essorage des chaussettes. Nous espérons que le vent va se calmer et la pluie diminuer demain, car nous avons des cols à franchir.