Et c’est reparti!

Demain je serai à Oviedo, de retour sur les chemins de Compostelle.

Cette fois, ce sera le chemin primitif, premier chemin inauguré vers l’an 810 par Alphonse II le chaste, allant reconnaître les reliques de st Jacques le majeur. Chemin moins fréquenté et réputé plus difficile, mais aussi parmi les plus beaux.

Ensuite, si mes jambes le permettent, ce sera l’épilogue du chemin jusqu’à ce qui était considéré comme la fin du monde occidental lorsque la terre était plate.

Poids total de mes bagages, incluant la polaire et le coupe vent : moins de 8kg.

Isla del Sol jour 1

Nous nous entassons dans un bateau pour nous rendre dans la partie nord de l’île. Nous trouvons à nous loger rapidement. C’est bas de plafond et les lits sont raides, mais c’est propre. Nous déposons ce dont nous n’avons pas besoin pour la journée avant de partir en exploration. L’île est vraiment belle. Nous nous attendions à des rochers sacrés qui sortent plus de l’ordinaire.

Retrouvailles
Bhhhéééé
Isla del Sol
Encore Isla del Sol

Il y a des cochons en liberté et peu de chiens. Nous pique-niquons sous le rocher du Puma, qui parait-il ressemble à une tête de puma. Grosse fatigue, nous retournons faire une sieste avant de retourner faire des photos et déambuler près du port.

encore
Les nuages et montagnes du lac Titicaca

Soleil couchant

Pisac

Nous partons avec Émilien, notre compagnon de tente lors du trek de Choquequirao. Voyage en collectivo jusqu’au village de Pisac. Nous traversons le marché artisanal pour nous rendre au chemin qui mène aux ruines qui surplombent le village. À l’entrée du site, on nous demande nos boletos turisticos (un billet très cher qui permet de visiter plusieurs sites). Bien sûr, on n’a pas ça. Ils nous disent que c’est obligatoire (alors que ça ne l’est pas) mais qu’ils vont nous faire une fleur en ne nous faisant payer que le prix pour les péruviens à 40 soles. En fait, 40 soles, c’est le prix pour les étrangers. Par contre, ils nous disent qu’ils n’ont pas de billets d’entrée disponibles et nous demandent de laisser 40 soles et de payer les 40 soles restantes à la sortie. Bien sûr, ça sent l’arnaque puisque c’est quand même étonnant que la guitoune d’entrée à un site ne soit pas pourvue de billets, mais comme pour le moment ça nous fait payer moitié prix, nous acceptons. C’est encore une bonne montée pour arriver aux ruines qui surplombent l’entrée de la vallée sacrée des Incas.

Poste de surveillance
Porte du temple du soleil
Entrée du tunel Inca
Pisac
La vallée sacrée des Incas

Ce qu’il y a de bien aussi avec ce site, c’est qu’il a plusieurs entrées et nous ressortons par celle du milieu où personne ne nous demande rien. Nous attendons un taxi patiemment au bord de la route pour nous ramener au village (la route est pleine de zigzags pour redescendre tout ce que nous avons monté et il est midi passé). Un taxi s’arrête. Il y a déjà du monde et plein de trucs dans le coffre. Une femme en habit traditionnel quitte sa place à l’avant du taxi pour s’installer dans le coffre et une autre passagère à l’arrière fait de même avant que nous ayons pu dire quoi que ce soit. Le chauffeur nous explique que c’est une vendeuse du site qu’il va déposer dans pas longtemps. Il nous fait un bon prix, nous nous entassons dans le taxi. Il y a aussi une femme avec un bébé dans les bras à l’arrière. Assez rapidement, le taxi s’arrête pour déposer les 2 femmes du coffre. Lorsqu’il s’arrête pour déposer la femme avec le bébé, il y a des gens sur le bord de la route qui font signe au taxi. Ils s’approchent, mais finissent par reculer lorsqu’ils nous voient. Il a fallu dire au taxi que ça nous dérangeait pas qu’il fasse monter d’autres passagers pour qu’il leur fasse signe. Un est monté à l’arrière et 2 dans le coffre. Dans une ville il ne faut pas accepter de faire monter d’autres passagers, mais à la campagne, c’est normal. Nous sommes contents, au final, nous aurons payé la moitié du prix d’entrée du site par contre les gardiens en bas auront probablement mis l’argent directement dans leurs poches.
À l’hôtel le soir, nous nous préparons un souper avec Émilien.

Retour de Choquequirao, jour 5

Lever à 5 h. Nous partons de bonne heure, évitant ainsi le soleil pour la dernière montée. Nous laissons les mules et notre muletier à Cachora. Les taxis nous mènent au bord de la route où nous attendons qu’un bus veuille bien s’arrêter. Celui qui s’arrête pour nous est une poubelle. Les passagers jettent leurs détritus dans l’allée ou par la fenêtre. Il y a toutes sortes de bouteilles remplies de jus de pommes dans le couloir, mais ce n’est probablement pas du jus de pommes. Comme c’est un bus qui s’est arrêté pour nous, forcément il s’arrête souvent. De nombreux vendeurs ambulants montent et les passagers achètent de la bouffe, ce qui ajoute d’autres déchets. Nous arrivons cependant à bon port et aucun des autres passagers ne s’est plaint de l’odeur des randonneurs dont certains ne se sont pas lavés depuis 5 jours (non, ce n’est pas nous, on a pris la douche froide le 2eme soir). Arrivés à l’hôtel, il nous faut attendre 1 heure que le réservoir d’eau se remplisse avant de prendre une douche (normalement elle était chaude, mais j’ai dû changer de douche en cours de savonnage, because l’eau sortait toute froide…)

Bilan : Nous sommes enchantés d’avoir fait ce trek, même s’il est très demandant. Comme beaucoup de ruines Inca, ce n’est pas tant l’architecture que l’environnement dans lequel se situent les ruines qui est beau. Nous sommes heureux également d’avoir visité ces ruines avant que le gouvernement Péruvien n’en fasse un autre Machu Picchu.

Choquequirao, jour 3

Lever sous la pluie. C’est le grand jour! Il nous reste 3 km pour accéder aux ruines, par contre c’est loin d’être plat.

Réalisé sans trucages

La végétation a changé, elle est épaisse, c’est la jungle qui recouvre tout en peu de temps. La cité a été abandonnée par ses habitants pendant la conquête espagnole pour se réfugier vers Vilcabamba et ce n’est qu’après qu’elle a été « découverte ».

La photo typique du site depuis l'observatoire
Idem
Les fameuses terrasses aux lamas
...avec leur arriero
Vue d'ensemble des lamas lors d'une éclaircie
Plaza principale
En attendant les condors (qui ne sont jamais venus, pas plus que les ours!)
arc en ciel au dessus de la jungle de Choquequirao
Une petite partie des terrasses dégagées, les autres sont encore recouvertes.

Les terrasses sur des surfaces vraiment pentues sont frappantes. Nous avions le site pour nous tous seuls, nous n’avons rencontré qu’un groupe de 3 personnes de toute la journée.

En route pour Choquequirao, jour 2

Samana Wasi (2300m) – rio Apurímac (1500m) – Marampata (2900m) 12.5 km

Randonnée éprouvante aujourd’hui, beaucoup de dénivelés. À mesure que nous descendons vers la rivière, la chaleur se fait humide. Nous trouvons des arbres fruitiers tropicaux comme des manguiers, les moustiques se font aussi plus présents. Écran solaire et répulsif obligatoires!
Les mules portent les tentes, le gaz, la vaisselle et nos affaires, sauf ce dont on a besoin lors de la marche, car elles ne sont pas souvent avec nous. Il n’y a pas beaucoup de monde sur le chemin. Nous croisons un français qui revient de Choquequirao. Il y a été tout seul, en portant sa tente et sa nourriture. Heureusement qu’il est facile de trouver de l’eau dans les camps que l’on peut désinfecter avec des pastilles.

Le rio Apurímac dans toute sa force

Après la traversée de la rivière commence la dure montée jusqu’au camp de Marampata. Il y a une douche à eau froide et pommeau de douche en bouteille de plastique, des poules avec leurs poussins et quelques familles y vivent.

Douche rustique, pour couper l'eau il faut débrancher le tuyau à l'extérieur.

On peut y acheter de tout. Tout arrive à dos de mules.

Le camp

En route pour Choquequirao, jour 1

Cachora (2900m) – Samana Wasi (2300m) 14 km

Prologue:
Au début, nous voulions aller au Machu Picchu, mais plus nous nous informions, plus nous trouvions des choses qui nous déplaisaient : un prix d’entrée de plus de 120 soles (équivalent à 6 nuits d’hôtel !), le train pour y aller qui appartient à des anglais (bénéfice minime pour les péruviens) et dont le rapport qualité/prix est plus que médiocre et enfin devoir se dépêcher pour être parmi les 400 qui pourront grimper sur le Wayna Picchu. La route alternative qui évite le train est problématique en cette saison des pluies, à cause des éboulements sur les routes. Bref, le Machu Picchu frise l’arnaque à touristes et nous avons décidé de faire une croix dessus.
Lors de notre étape à Nasca, nous avions entendu parler des ruines de Choquequirao qui ne sont accessible qu’à pied. Certains les décrivent comme le nouveau Machu Picchu. Le frère du proprio de l’hôtel est guide et nous propose de nous y emmener. Les agences de Cusco proposent de le faire en 4 jour/3nuits, mais ça ne laisse que quelques heures sur le site après une montée éprouvante. Nous allons le faire en 5 jours pour passer le 3eme jour en entier sur le site. D’autres Français de l’hôtel vont se joindre à nous, ce qui permet de faire baisser le prix individuel. Au total nous serons 5 visiteurs, 1 guide, 1 aide cuisinier, un muletier et 3 mules.
Pour accéder aux ruines, il faut traverser le canyon de la rivière Apurímac. On part d’une altitude de 2900m, pour rejoindre la rivière à 1500m puis on remonte jusqu’aux ruines sises à un peu plus de 3000m d’altitude, le tout en 30 km. Pour le retour, c’est la même chose en sens inverse.

Départ à 5h30 de l’hôtel pour le terminal terrestre ou nous prenons le bus de 6 heures qui nous dépose au bord de la route qui mène à Cachora. De là, nous prenons 2 taxis, des Toyota qui avaient déjà bien roulé et qui descendent la route en terre à toute allure. Nous frôlons les chiens et le bétail qui sont sur la route. Il est presque midi lorsque nous arrivons à Cachora où nous rencontrons notre muletier avant de manger.
Départ sous la pluie. Le début est relativement plat. Notre guide nous montre les plantes.

Petite pause
Sur le chemin avec les mules
magnifique

Après le mirador de Capuliyoc, nous commençons la descente, les mules nous rejoignent et nous nous installons au camp de Samana Wasi à 2300m d’altitude. Normalement, on aurait dû camper plus bas, mais la fille de l’expédition était un peu malade. Finalement, c’est mieux parce que plus bas, il y a des moustiques. Par contre, les installations sanitaires ici sont vraiment rudimentaires. Excellent repas au milieu des Andes majestueuses.

Vue à partir du camp
On termine de monter les tentes
On termine de monter les tentes

Cañon del rio Apurímac

Cañon del Colca, Sangalle-Cabanaconde

5.5km, dont la moitié sur du plat. Dénivelé: 1000m, 2h40.
Lever à 5h20, départ à 5h40.

On doit monter tout ça

La montée est difficile, heureusement le soleil ne tape pas encore. Des touristes perchés sur des mules nous dépassent.

Touristes sur mules, attention au vertige !

Nous croisons des locaux qui descendent avec des mules chargées de tôle ondulée et diverses provisions. Arrivée à la Plaza de Armas à 8h20, juste le temps de prendre le petit-déjeuner chez Pachamama et d’attraper le bus de 9h. Nous achetons les 2 dernières places assises qui se trouvent au fond du car. Les Péruviens sont déjà entassés dans le couloir, la traversée est difficile. Nous repassons devant Cruz del Condor qui est dans les nuages, pas un oiseau à l’horizon. Pause pipi à Chivay où il y a 2 tarifs pour les toilettes : 30 centimes pour les urinoirs (pas de papier) et 50 centimes pour avoir un peu de papier. Beaucoup de personnes ont descendu et nous repartons un peu allégés. Ils nous passent un chef-d’œuvre : Predator. Ensuite, nous avons eu droit à 45 minutes du menu du DVD, horrible.

Cañon del Colca, Llahuar-Llatica-Malata-Sangalle environ 16km

Nous nous levons avec le soleil.

Réveil

Super petit-déjeuner : crêpes cuites au feu de bois, confiture, maté de coca.

Elle est pas belle, la vie ?

C’est avec regret que nous quittons Llahuar Lodge, endroit magnifique et personnes gentilles et accueillantes. C’est parti pour une dure journée de marche. Nous rencontrons un habitant de Llatica avec qui nous discutons. Il nous apprend que l’activité principale ici est la récolte des cochenilles et qu’elles se vendent plus de 400 soles le kilo.

Cochenilles

Nous avions sous-estimé la montée, il est clair que l’on ne pourra pas aller voir les chutes d’eau et être à Sangalle avant la nuit. Nous décidons donc de ne pas passer par Furé. Les paysages sont de toute beauté. Après 9km de marche et 900m de montée, nous retrouvons les Français en train de se cuire des pâtes. Ils ont pris le chemin direct. Nous nous reposons un peu avant de repartir. Le chemin est relativement plat jusqu’à Malata où nous allons manger.

Malata

Ensuite, c’est la descente vers Sangalle. Quelques gouttes commencent à tomber. À Sangalle, il se met à pleuvoir sérieusement et nous ne savons pas vraiment où aller, il y a 4 ou 5 endroits où l’on peut dormir et nous ne savons pas lequel prendre. Nous allons finalement à El Eden qui est le plus proche. Son seul point positif est la douche chaude. Sinon l’accueil est horrible et la bouffe est la pire que l’on ait eu depuis le début de notre voyage.

Sangalle

Llatica, Malata et Sangalle ne sont pas accessibles en voiture. Une route en poussière vient d’être construite à quelques centaines de mètres de Llahuar. Les gens se déplacent à pied, avec des ânes ou des mules pour porter. Autant dire qu’ils tiennent la forme! Nous pensions trouver plus de potagers et de poulaillers.

Villageois marchant au loin

À Arequipa, il y a plus d’agences de tourisme qui proposent des treks dans le Cañon que de touristes. La pression est donc énorme pour rendre le Cañon plus accessible et cela risque de perturber la vie de ses habitants. Il y a déjà des familles qui se font la guerre pour que les touristes aillent chez eux. Les autres n’en retirent aucun bénéfice et ce n’est pas le boleto turistico (une arnaque officielle) qui va les aider. On voit clairement la différence entre Llahuar qui n’est pas sur le circuit régulier des agences et Sangalle qui est déjà pourri par le tourisme.

Cañon del Colca, Cabanaconde – Llahuar 12km

Lever à 2h40 du matin, nous fermons les sacs, laissons les gros bagages à la réception de l’hôtel qui va nous les garder. Le minibus arrive à 3h10, il y a 4 Anglaises et 3 guides. Nous n’avons pris que le transport avec le tour parce que nous avons trouvé l’option plus pratique et pas tellement plus chère que le colectivo. Par contre, nous voulions marcher librement dans le canyon. La route zigzague pas mal. Nous montons et dépassons allègrement les 4800m d’altitude. Le Mont-Blanc, à côté, c’est de la copie de grand sommet. À 7h, nous atteignons Chivay pour le petit-déjeuner avec maté de coca. Nous poursuivons et nous nous arrêtons observer quelques condors au loin. En hommage à une vieille blague, je nomme les 2 premiers volatiles aperçus Lelit et Lhôtel.

Lelit

Nous poursuivons la route jusqu’à Cruz del Condor où il y a beaucoup plus de touristes que de zoziaux.

Cruz del Condor y de los turistas

Nous arrivons finalement à Cabanaconde (3300m) à 9h45. Nous débarquons à 10h chez Pachamama et ils sont capables de nous faire un bon plat de pâtes en quelques minutes. On nous y donne d’excellents conseils sur l’itinéraire ainsi qu’un plan du canyon. À 10h30 et sous un soleil qui commence à taper, nous amorçons notre descente.

En haut du Cañon del Colca

Le sentier est très rocailleux, nous ressentons les sensations du Camino, sauf que nous n’avons jamais eu une telle descente! (1200m). Avec la quantité de touristes à la Cruz, nous redoutions la foule. En fait, nous n’avons croisé personne en chemin. Paysages sauvages et magnifiques, généralement aride avec des îlots de verdure.

Le petit pont de bois, lalala

Arrivée à Llahuar Lodge à 14h45. Nous avons mis 4h15 sans trop nous presser. Il était temps d’arriver, la dernière partie du chemin est une route de poussière et le soleil tape dur. Nous sommes arrivés à un petit paradis situé au croisement de 2 rivières au fond du canyon, avec une vue magnifique et des piscines d’eau thermale.

Après l'effort, le réconfort

Le logement est rustique mais bien. Nous déposons nos affaires et enfilons nos maillots. Pour le moment nous sommes les seuls. L’eau est bien chaude. Quel plaisir d’avoir de l’eau chaude sans avoir à penser à la note d’électricité! Au bout d’une heure et demie, un groupe de 4 Français arrive, suivi de 3 filles Suisses. Abel, le jeune garçon qui tient l’établissement avec sa cousine va nous pêcher des truites pour le souper. Repas du soir à la bougie en bonne compagnie.
En discutant avec nos hôtes, nous apprenons que le tas de vieux vêtements laissés à l’abandon de l’autre côté de la rivière était un cadeau de Noël venant de je ne sais quelle organisme pour le village, mais les habitants n’en voulaient pas. Il faut dire qu’il n’y a pas que du beau. En fait, ce n’est jamais une bonne idée d’envoyer ses vieux vêtements dans des pays plus pauvres. Soit ils pourrissent l’environnement de pays qui n’ont vraiment pas besoin de ça ou bien ils font une concurrence déloyale aux artisans locaux qui fabriquent vêtements et chaussures, les privant de revenus et rendant tout le monde dépendant de produits occidentaux. Bref, c’est juste une façon facile de se donner bonne conscience en jetant des vêtements que l’on a acheté sans en avoir besoin.

Après une telle journée, la fatigue nous rattrape vite. Et c’est un peu coupés du monde que nous nous endormons.

Cirque de Navacelles

Petite rando tranquille pour voir le cirque de Navacelles. En fait, on commence au bord de l’eau et ce n’est qu’à la fin, lorsque l’on monte que l’on voit le cirque.

De la caillasse et du cirque
De la caillasse et du cirque
Le cirque vu d'en haut
Le cirque vu d'en haut
Rando
Rando
Où sont les clowns ?
Où sont les clowns ?

Ancien moulin
Ancien moulin

Pont du Gard

Autre rando de préparation, 17km encore, cette fois ci pour admirer l’architecture romaine. Ils sont forts ces romains !

Pas mal de dénivelé et de caillasse.

Le pont du Gard
Le pont du Gard
Ce petit chemin, qui ...
Ce petit chemin, qui ...
Lavoir public... Défense de laver
Lavoir public... Défense de laver
Autre tronçon de l'aqueduc
Autre tronçon de l'aqueduc

El burro blanco
El burro blanco

Lac du Salagou – Les Vailhés

Rando de préparation pour la grande rando, avec les sacs chargés.

Le départ
Le départ

17 km au bord du lac du Salagou.

Le Salagou
Le Salagou

On voit la terre rouge très caractéristique.

Le bord du lac
Le bord du lac

Un barage a fait sortir ce paysage de l’aridité.

Une mante religieuse rencontrée en chemin
Une mante religieuse rencontrée en chemin

Une dernière plage
Une dernière plage